Livre, heure de poisson
Ah bah merci Anitta, vraiment merci ! Bah
tiens, un vendredi en plus !
En plus, qu’est-ce que je vais bien pouvoir
raconter ?
Je me suis déjà fait avoir avec le concours à
bonnets d’Emery, je deviens complètement influençable par la blogosphère ! Ce n’est pas mon genre d’autiste indépendant ça ! (autiste, pas artiste)
Bref, combien lis-je de livres par an ?
C’est une bonne question et je ne vous remercie
pas.
En gros, il doit bien en avoir 5 ou 6 environ. Ouais,
ouais, je sais, c’est peu mais y’en a qui bossent !
Ça commence à bien faire ces questions
désagréables ! Déjà le toubib hier qui notait mon poids millésimé 2005
avec une moue moqueuse ! J’l’ai déjà dit ? Ouais peut-être.
Mais dans les cinq, je vous signale que je
n’intègre pas les quatre magazines mensuels, ni TéléLoisirs d’ailleurs !
Et pis, ce sont des gros magazines où même que je
dois me concentrer pour lire.
D’abord !
Quel est le dernier livre que j’ai acheté ?
Je crois que c’était un Terry Pratchett. Me
rappelle plus lequel, ou alors le dernier Bernard Werber.
Et pis j’ai aussi acheté des bédés mais ça compte
comme un livre ? Et bah voilà, où sont les conditions générales
d’application du questionnaire ?
Tout ça ne me parait pas très légal. Bref.
Quel est le dernier livre que j’ai lu ?
Voilà une question compliquée parce que j’ai
commencé « De bons présages »
de Pratchett et Neil Gaiman. Une sombre histoire poilante de fin du monde avec
anges et démons. Mais allez savoir pourquoi, j’ai été obligé de recommencer le
début deux fois et de m’arrêter par jeter de l’éponge de l’arbitre à mi-livre.
Ch’ais pas, j’ai décroché. Pas pu. Alors le marque page reste immobile et le
bouquin prend la poussière sur le vieux radio réveil que j’ai ramené de chez
mes parents il y a dix ans et dont la le lecteur de K7 ne marche plus. J’aurai
du me douter que ce n’était pas de la bonne qualité, le premier radio réveil
était identique et il bouffait les bandes comme moi, des spaghettis.
Donc, celui-ci est en cours et j’ai dévoré
« La nostalgie de l’Ange » d’Alice Sébold le mois dernier. Voir une précédente
note à ce sujet.
Citons désormais cinq livres qui comptent.
Je suis incapable de faire un tel choix alors que
je vais parler de périodes. J’ai le droit d’être asocial non ?
Je passerai sur « Oui Oui aux Antilles »
qui m’avait bien marqué dans ma prime jeunesse, il y a deux ans.
De mon adolescence me reste quelques traces
scolaires : « La peau de
chagrin » de Balzac, Samuel Beckett (En attendant Godot et Fin de partie), Ionesco (Rhinocéros et La cantatrice chauve).
Puis s’est entremêlé mon cycle Stephen King,
notamment avec ‘Brume’, ‘ça’.
Qu’est-ce qui me revient encore ?
Voyons : Le cycle du Graal de
Jean Markale. Bernard Werber et la fraîcheur des Fourmis puis l’épatant les
Thanatonautes.
Je vois bien qu’il n’y a que du banal là-dedans, du
‘ça se laisse lire’ mais je ne dis pas qu’un jour, je me plongerai plus encore
dans la bibliothèque extraordinaire de mon pôpa, composée d’une partie de la
bibliothèque mirifique de son pôpa à lui.
Reste Saga
de Tonino Benacquista et La nostalgie de
l’ange qui m’ont dernièrement, énormément plu.
Je crois aussi que je vais descendre au fur et à
mesure Les annales du Disque-Monde de
Pratchett.
Ce qui est terrible, c’est la sensation d’en
oublier plein.
Côté BD, rien que du classique aussi avec une
enfance bercée par Tintin et Astérix, puis tout Gotlib par
intraveineuse et quelques affinités actuelles avec Thorgal (de Rosinski et Van Hamme) et les cycles de Lanfeust (de Arleston, Tarquin, Guth et
Lencot).
L’ensemble assaisonné par Fluide Glacial.
J'oubliais, je ne voulais pas faire passer le questionnaire, et puis... pourquoi pas.
Alors, si cela vous tente: Lavitanuda (bé oui, je crois que tu es passé au travers, sauf erreur), Kadi (ça lui changera les idées), et M'x (parce qu'il n'a que ça à faire en ce moment !)
Voili, voilà.
Je te remercie, Anitta, d’avoir pensé à moi. ;-)
(C’est même un honneur !)
Du coup aujourd'hui, je ne vous parlerai pas des bonnets de
bains, ni des photos compromettantes d’hommes imbibés perdus dans la campagne
normande.
Bonne journée !
Et n’oubliez pas d’envoyer péter vos supérieurs hiérarchiques
préférés en leur punaisant la bannière ci-dessous dans le dos (avec un clou ou
une hallebarde, ça tient aussi).
Si vous n’avez pas de patron(ne), ça marche aussi
avec le premier con venu.