Moi(s) et en moi(s) - 2 - Avril06
Le mois d’avril où il ne faut pas se découvrir d’un fil a
laissé place au mois libre de faire ce qu’il nous plait. Le printemps est
installé avec des températures permettant la chemisette à la place de la
chemise.
Quelques froids de fin de mois et des week-ends pluvieux qui
alternent avec des semaines de travail ensoleillées. Comme d’habitude.
Avril a été rythmé par les vacances de printemps. Nous apprécions finalement ce décalage de zone entre les académies parisienne et d’Amiens. Le réveil sonne moins tôt et c’est aussi bien pour les enfants. Tout le monde doit être plus reposé.
Alors, le CPE, mort et enterré, a fait revivre les universités
capricieuses. Le gouvernement croyant s’en être sorti, replonge dans d’autres
méandres politico-politiques où nos chers élus se ridiculisent plus que de
raison avec cette affaire d’Etat qui ne regarde qu’eux et qui se règle entre
eux. Les espions sont éloignés des intérêts du peuple.
A côté de cela, je n’ai toujours pas de stagiaire.
Des notes familiales ont rythmé ces trente jours avec une forte
interaction avec le blog de ma Elle. Bien involontairement d’ailleurs, il y a
des choses comme ça.
Rien d’extraordinaire. J’ai hâte d’en venir aux vacances tant l’ambiance
professionnelle est pesante inutilement. C’était déjà le cas fin février au
sortir des dernières.
Les objectifs sont clairs : mois de mai et ses jours
fériés, juin et la Coupe
du Monde, juillet et les vacances. En parallèle, quelques projets, quelques petits
trucs de nouveau, de ci de là.
Bloguement vôtre, une nouvelle catégorie qui ne plaira qu’à moi
puisqu’orientée foncièrement ballon rond. Il ne faut pas refuser ces passions
après tout.
Deux blogueuses me causent des soucis. Les deux ont arrêté et
je leur fais des bises claquantes en les suivant de près tout de même. Elles se
reconnaîtront.
16 notes en 30 jours, autant que le mois dernier mais avec un
jour mensuel de moins, soit 0,53 note par jour. L’envie en montagnes russes se
maintient.
Avril fut un bon mois (je passe sur le fait de m’être fait bouffer le bras et sur l’indigence des gendarmes franciliens).