Note pourrite (en attendant mieux... si, peut-être)
Reprendre un mercredi et attendre dix minutes pour renvoyer sa collègue insupportable dans ses vingt-deux mètres, laisser passer vingt minutes pour se faire phagocyter la matinée par le chef qui annonce toutes les dernières nouvelles (comprendre : « ce qu’il va falloir faire parce que au boulot maintenant, et hop, ça va bien les congés et puis moi, je n’ai pas que ça à faire parce que je pars en vacances dans deux jours, fainéant »).
Aller déjeuner parce qu’en fait, c’est l’heure.
Puis, comme cerise sur le café, découvrir l’harcèlement s*xuelle
d’une quadragénaire pomponnée sur un jeune vingtenaire dans mes équipes.
Sûr qu’à force aussi de passer son temps à lever son c*l, la
dame m’a permis de recevoir un mèl critique d’un client sur les incidents des
dernières semaines. Elle ne peut pas tout faire.
Evidemment, quelques déluges de plaintes qui n’attendaient que
mon indispensabilité relative.
Juste pour passer le temps.
Le téléphone a plus sonné aujourd’hui qu’au mois de juin
coupedumondité.
Demain ira mieux puisque tout tombe toujours le premier jour
(principe de base du retour des vacances).
Mais tout va bien, il pleut (je n’aime pas travailler quand il
fait beau).
En attendant, je crois avoir peut-être fait trop de choses
aujourd’hui, ça c’est un coup à devoir bloguer les autres jours.
Passer une soirée célibatairisée mais en fait se faire une
cuire une sacrée tarte aux oignons et regarder un bon DVD.
Mouais, ça me va.
…
‘tain, qu’est ce que c’est que cette note ?!