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Le Bar Nabé
14 juillet 2007

Hauts, les ronds dans l'eau

Dix heures et trente minutes après le top départ post nuit d’artifices, nous foulions le sable chaud.
Les bouchons, ça se gère. Le bison futé, j’allais me le faire.
Sur le pont à 3h46, partis à 4h45, et paf, le péage d’Arnouville, on se le bouffe tranquille.

A10 > Péage : 1h15
Il a fallu qu’un crétin se fiche en l’air pile poil devant, rien que pour m’emmerder. La dame d’Autoroute FM le dit avec un sourire même pas compatissant. En fait, bien assise dans son kiosque à radio, elle se foutait de nous.
Si j’étais parti comme à l’habitude, pif paf, l’embouteillage aurait été résorbé.
Là, j’écoute, j’anticipe, je réfléchis, je me secoue la boite à cerveau et un imbécile immobilise deux voies sur quatre en surfant sur son côté de bagnole. Evidemment, il l’a fait exprès.

Evidemment, première sortie après le péage, toutes les gonzesses se précipitent aux toilettes et du coup, la mini-mienne est contrainte de se retenir. De toutes façons, elles sont pénibles les filles.
(Bon en fait, ça a bien roulé).

Oléron nous voici et tous ces abrutis qui arrivent en même temps au pont.
Gris le temps, 20°, MétéoFrance, je te conchiais comme la dame d’AutorouteFM.

Pique-nique à la location au bout du compte.
Gros espoirs pour faire les grosses courses au milieu de l’île en pensant que les stupides vacanciers ont terminé leur transhumance sur ma route des vacances et qui plus est, sur ma route du Leclerc.
(Bon en fait, ça a été).

C’est ainsi qu’à 15h15, nous étions à la plage sous un énorme soleil.
24° dehors et 17° dedans. C’est frais. Dedans, c’est très frais. Mais avec les vagues, on s’y fait.

Bon, désormais, c’est le soir, fait que j’aille doser les pâtes.

Quand je disais que les filles, c’est pénible.

SP_A0031

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Commentaires
4
Argh, je te déteste!
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