Collection d'été
Le gars là, oui, le gars capitaine du gros bateau en fer qui
coule nos chalutiers, qui vient jusque dans nos vagues, égorger nos fils et nos
Haddocks (le capitaine, pas le poisson). Celui là même qui reconnaît avoir
casser une petite embarcation mais qui nie le délit de fuite. Il est rigolo le
gars, c’était quoi son rafiot ? Genre Titanic qui met vingt kilomètres
avant de pouvoir freiner ?
Proposons donc scientifiquement de le plonger dans les eaux
internationales pour voir s’il remonte.
L’autre imbécile de médecin, soutenu par sa caste, qui prescrit
avec un jugement de bulot, de la pilule rose à un prisonnier sexagénaire qui
voulait se faire des filles en sortant. Ouais, ce gars là.
Pratiquons de la même manière et laissons le dans une cage avec
un gorille male en rut.
Je ne sais pas, c’est comme donner un 38mm chargé à un
suicidaire, offrir un abonnement gratuit chez Nicolas à un alcoolique, laisser
une pharmacie en libre service à un drogué en désintox.
Et cet idiot de sélectionneur de football qui allume des
caisses de dynamite avant Italie – France de septembre. Comme quoi, les
italiens achètent les matchs de football. Ok, c’est vrai. Oui, quoi c’est vrai.
Mais ce n’est pas sur un chèque qu’il n’a pas gagné en 2006.
Ce lot de crétins coréens qui va se faire enlever en Irak. Ben
non, je sais, ce n’est pas bien les enlèvements, les prises d’otages, les
assassinats, les demandes de rançon, mais à un moment, il faut réfléchir. Ces
gars là, ce troupeau d’évangéliques venu de l’Est, à quoi pensaient-ils dans
leur mission supérieure d’évangélisation, leur croisade pour imposer le
christianisme intégriste dans un pays comme l’Irak en pleine guerre
religieuse ?
Et dites donc, 272.57 € par tête blonde pour la rentrée, ce n’est
pas suffisant ? Comprends pas. Les baskets, faut pas prendre Nike, les
cahiers, ce n’est pas Oxford, le cahier de texte, il ne doit pas y avoir Dora
ou les Jackson Five dessus, le crayon à bille, c’est Bic bleu. Négocions avec l’affreux
une sortie plutôt qu’une règle de la mort qui tue et s’il n’est pas content, j’ai
tout un tas de réponse que me faisaient mes parents à répéter.
Et d’ailleurs, pour tous ces absurdes abrutis, j’ai toujours des choses à dire.