...suis repassé...
Je pars toujours du principe qu'on n'a jamais rien sans rien.
Et le cas échéant, si par bonheur, on reçoit ce qu'on croit être un don de je ne sais quelle divinité en impatience de me reconnaître comme le nouveau messie, il faut s'attendre au retour de bâton (disons, dans la gueule).
Une fois qu'on est d'accord avec cela, il faut se montrer humble afin que le coup de massue soit le plus léger possible (pour peu que se faire mâchouiller les testicules par un pitbull puisse être supportable de temps en temps).
Un cadeau du hasard ou opportuniste n'est donc jamais gratuit et de ce fait son acceptation avec retenue gène une totale satisfaction.
Alors c'est sûr que j'ai eu un bouquet garni professionnel cette année. Le genre de truc que tu ne demandes pas mais qui t'arrive quand même.
J'avais raison de ne pas sauter au plafond d'ailleurs car quand je pense à ce qui me tombe sur la tronche depuis, qu'est-ce que ça aurait été si j'avais fêter cela au Champomy !
Alors si vous voulez bien m'excuser de ne pas être plus loquace, je vous souhaite un bon week-end (pendant que votre serviteur, à part le fait de passer ses journées au travail pour un salaire qui finit par ne plus être suffisant proportionnellement aux âneries subies et supportées, va dans une grande communion de joie, de félicité et de bonheur, faire un putain de merde de déménagement pour une amie demain matin dès 8h30 pour traverser la région parisienne totalement d'est en ouest).
J'y retourne avec grâce et légèreté dans ce monde de brutes (comptez un con par ½ brutes).