Re - connaissance
Il suffit pourtant de participer aux grands bousins relationnels
de la blogosphère pour se retrouver au milieu de centaines de carnetiers, par
petits ou grands groupes pour connaitre plein de gens biens (ou pas biens aussi).
Mais non. Enfin, jusque là, non.
J’ai rencontré volontairement quatre blogueurs (–euses) depuis le début de l’aventure.
Il suffit de survoler leurs œuvres cinq secondes pour apercevoir
les qualités des deux gars.
L’ampleur de leurs travaux
respectifs est impressionnante et je suis impressionné.
De la même manière qu’il y a cette curiosité teintée d’adrénaline
à croiser le mot face à l’un ou l’autre, il y a également la folie (non, pas
toi Folie, pas là) qui les emporte.
Je ressors d’une heure ou deux avec eux avec le sentiment de
pouvoir refaire le Monde, pas un bout, non, le Monde entièrement avec les gens
à l’intérieur.
Il me suffisait de les écouter parler passionnément avec leurs
envies, leurs découvertes, leurs craintes, ce qu’ils ont appris, leur vision du
phénomène.
Nico qui mixe politique citoyenne et préoccupation du Monde de
demain.
Nuesblog
Sa participation active aux freemen
Cyrille, 20/20, Bonjour America, l’humour et la
créativité en mouvement perpétuel.
Vinvin
Pendant qu’il y en a un qui cause avec les partis politiques avec
un vrai regard (encourageant pour la campagne pompante qui nous attend), l’autre
devise avec le Grand Journal, les chemises à Denise, la barbe de Beigbeder, le
décolleté d’Ariane, la miss météo et vient représenter le coin de ciel bleu de
cette émission sur fond de commémoration du 11 septembre.
Quand je vois –j’imagine- les efforts, le temps, les moyens qu’ils
se donnent pour réussir, et leur
simplicité, humanité… sans prise de tête
apparente.
Reconnaissance gratuite pour ces gars. Putain, les gars, merci
les gars, merci. C’est à nous de dire merci.
Y’a de l’optimisme dans vos projets les gars.
Edit de 10 minutes plus tard: Vous irez là, aussi. Tous les mardis mais vous pouvez y aller les autres jours aussi.
Si vous avez raté le lien ci-dessus, je le remets, c'est là.