Le jour où il faut ralentir
Bonjour, bonjour, pas beaucoup de temps. Non pas beaucoup. Deux heures de bouchons à cause que les nationales se ferment.
Puis, camions remplis d'éboueurs, bus scolaires, voitures pleine de parents en dépose de gamins devant les grilles, travaux de voirie, sales caractères, déviations interminables...
Une réunion ratée.
Un rendez-vous avant les deux de l'après-midi.
Pas beaucoup de temps non.
Et puis ça m'arrange puisque je n'ai pas beaucoup d'idées.
Sauf que dans les embouteillages, j'ai chopé cela:
(véridique)
Et d'une association d'idée à l'autre, j'ai pensé plutôt à ça:
(on s'occupe dans les bouchons)
Tout ça pour dire que je vais encore me faire enguirlander par ma 'tite femme en rentrant.
(Et puis je n'y peux rien s'ils sont plus petits après les grossesses qu'avant.)